Votre rêve à peu de frais. Location court terme et moyen terme possible (AirBnb)
Conçue pour l’avenir.
Le livre « The Not So Big House », écrit en 1998 par
l’architecte Sarah Susanka et par l’auteure Kira Obolensky,
qui est considéré comme l’oeuvre pionnière du courant des
mini-maisons.
Micro-maison
Environ 300 pieds carrés (pc). Souvent, il s’agit
d’une maison sur roues (sur une remorque). Elle vise
l’empreinte environnementale minimale, favorise
la mobilité, l’autonomie et la diminution de la
consommation d’énergie et de biens matériels. Elle
peut être un choix fait par désir de simplicité volontaire,
une résidence secondaire de villégiature, une annexe
résidentielle pour les retraités ou pour des travailleurs
saisonniers et contractuels ayant le besoin ou l’envie de
se « déplacer » sans avoir à « déménager ». Cela dit, que
le ménage y loge de façon temporaire ou permanente,
tous s’entendent sur le fait que l’habitation doit être
en mesure d’assurer une qualité de vie décente aux
occupant(e)s.
Mini-maison
Entre 300 et 600 pieds carrés. En raison de sa taille,
cette habitation est généralement sur fondation,
sur pilotis, sur blocs ou sur pieux. Comme la
micro-maison, la mini-maison vise à offrir une
alternative plus écologique. Toutefois, elle se
distancie quelque peu du courant de la simplicité
volontaire et est mieux caractérisée par un désir
de concevoir des espaces habités qui répondent
aux besoins, aux aspirations et aux moyens des
ménages d’aujourd’hui (Susanka et Obolensky
1998). Elle contribue par ailleurs à diversifier
l’offre en habitation et constitue une option plus
abordable. Elle pourrait également contribuer à
absorber la croissance urbaine et répondre aux
enjeux environnementaux propres aux territoires
suburbains si elle est conçue dans l’optique du
développement intercalaire et de la densification
douce.
Petite maison
Entre 600 et 1000 pc. En termes de superficie,
la petite maison se rapproche des dimensions
des maisons de vétérans et de plusieurs maisons
québécoises patrimoniales. Leur design, qui vise à
maximiser l’espace et l’éclairage naturel, a été influencé
par des courants architecturaux fonctionnalistes
(Susanka et Obolensky 1998) ainsi que par les principes
de l’habitation écologique, notamment par l’utilisation
plus systématique de l’énergie solaire passive (Wright
1978).